Les bienfaits de notre chien sur notre santé physique


le chien nous aide à garder la forme et à préserver notre coeur

Notre chien nous incite à faire d'avantage d'exercice, puisqu'en tant que bon maître, nous devons le promener, jouer avec lui, etc.


Et toutes les marches que l'on fera avec son chien, de façon quotidienne, vont permettre de réduire les risques cardiovasculaires.
C'est ce qu'indique une association américaine qui s'est intéressée au sujet : lorsqu'une personne possède un chien, elle pratique une plus grande activité sportive, surtout marche d'avantage. Un niveau d'activité physique équivalent à une personne de 10 ans de moins.
A Houston, USA, un professeur du Baylor Collège of Medicine interrogea plus de 5000 propriétaires de chiens et il s'est avéré que l'influence de leur chien sur leur santé cardiovasculaire avait été des plus bénéfique. Donc la possession d'un chien va de pair avec la réduction de risque cardiaque.
Le chien empêche donc la sédentarité. Il vous maintient en forme plus longtemps. Ensuite, et renforce son système immunitaire par l'entrée en contact de son organisme avec les bactéries apportées par l'animal.

Il évite ou détecte certaines maladies et cancers

Un rôle positif sur le diabète, la pression artérielle et le cholestérol : le maître d'un chien aura moins tendance à l'obésité et aura une pression artérielle et un taux de cholestérol moins élevé qu'une personne n'ayant pas de chien.
Portée sur des personnes qui ont fait un AVC, une analyse prouve que posséder un chien diminuerait le risque de mortalité précoce de 4 fois par rapport aux non-propriétaires de toutous.
De même sur des patients se relevant d'un infarctus du myocarde : l'absence d'un chien est également un facteur pouvant anticiper un nouveau problème cardiaque.

Un flair hors pair contre le cancer du sein


Le chien a un odorat 10 000 à 20 000 fois plus développé que celui de l'homme.
Depuis longtemps, les hommes ont utilisé le flair du chien. Que ce soit pour la chasse, la recherche de personnes ou la détection d'explosifs ou de drogue, les exemples ne manquent pas. Mais il est sans doute un domaine où l'on n'attendait pas notre ami à quatre pattes : la médecine, et plus particulièrement, le dépistage de certains cancers, dont celui du cancer du sein.
Certaines cellules cancéreuses émettent des substances odorantes, imperceptibles pour l'homme, mais pas pour le chien. Des études prometteuses ont déjà été menées sur l'haleine de patients souffrant de cancer du poumon, ou l'urine de personnes affectées d'un cancer de la prostate ou de la vessie.
Concernant le cancer du sein, des chiens dressés ont été capables de reconnaître des cultures de cellules malignes. Du coup, l'institut Curie a lancé une étude sur le dépistage du cancer du sein par des chiens : c'est le projet Kdog. Deux Malinois de l'armée de l'air, entraînés à la détection d'explosifs ou de stupéfiants, ont été recrutés. Grâce à leur dresseur, ils apprennent à détecter les cellules cancéreuses sur des prélèvements de tissus malades, mais aussi sur des lingettes ayant été en contact avec les seins pendant une nuit. Les chiens seront ensuite soumis à des tests en aveugle : ils devront reconnaître si le prélèvement fourni provient d'une patiente cancéreuse ou non.
Pour la biologiste en charge du projet Kdog, la détection du cancer du sein par les chiens serait une formidable avancée. En effet, utiliser le flair du chien est non invasif et relativement peu coûteux par rapport au moyen d'investigations traditionnels (la mammographie, par exemple). Et les chiens peuvent se déplacer facilement. Cela permettrait de développer le dépistage du cancer du sein dans des pays où les infrastructures sont déficientes.


Un compagnon de gaieté et de fin de vie

Le chien et son énergie va recharger les batteries des personnes âgées. Toutou les oblige à marcher à son rythme, à courir s'il le faut.
Il préserverait même notre bien-être mental, car sa présence nous amène à avoir plus d'interactions sociales. En moyenne, les propriétaires de chien présentent des niveaux de dépression plus faibles.
Une personne âgée renoue des liens sociaux lors des promenades avec toutou : même le plus misanthrope retrouve le sourire au contact d'un enfant qui vient caresser son chien ou toutou qui veut jouer avec le chien d'une autre personne.

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